Vivre un vrai moment de calme et d’apaisement aussi bien physique que mental peut sembler anodin, de l’ordre du « confort ».

En effet, pour de nombreuses personnes atteintes de troubles chroniques comme le TDA.H, les moments de relaxation tels que ceux procurés par un massage sonore sont précieux.

Face au stress y a la team « Cool Raoul, la terre ne va pas s’arrêter de tourner » et les autres qui se retrouvent avec des pensées qui s’emballent, un sommeil de mauvaise qualité, des nœuds dans le ventre, des poussées d’eczéma, les dents qui grincent…

Vous connaissez la charge mentale et les ruminations qui occupent à tel point l’esprit que même fatigué.e vous n’arrivez pas à dormir ?

Perfectionniste de nature, la sonothérapie me tempère, et m’apaise. Au quotidien, les vibrations sonores m’invitent au lâcher prise et à être satisfaite de moi, même dans l'imperfection.

L”’intention”, en tant que thérapeute, est primordiale quand on donne un soin, et c’est d’autant plus vrai pour la sonothérapie.

On ne pense pas à sa liste de courses pendant un massage sonore sinon je vous garantis que vous avez de grandes chances de frapper à côté du bol ou trop fort !

Mais je reviendrai sur ce sujet dans un autre post.

Aujourd’hui c’est de votre intention, à vous qui recevez le soin, dont je voulais vous parler.

Le cancer ne touche pas que le corps, il impacte également tous les pans de notre être et de notre vie touchant le psychisme, l’émotionnel, les énergies, la sphère familiale et professionnelle. La prise en charge doit donc être globale pendant et après la maladie.

On parle aujourd’hui de santé intégrative, en 2 mots c’est l’utilisation conjointe de médecines conventionnelles et de soins complémentaires où la sonothérapie à toute sa place.

Etonnant, non ? Et pourtant vrai.

Rappelons-le, tout vibre : le soleil, les étoiles, les végétaux qui communiquent entre eux grâce aux vibrations et nous « êtres humains ».

Le stress prolongé, notre grand ennemi, diminue ce taux vibratoire en perturbant notre vibration cellulaire. Nous sommes comme « désaccordés ».

Après avoir suivi Laure entre son 4ème et 8ème mois de grossesse pour des massages sonores (Cf post massages sonore et femmes enceintes) nous nous retrouvons 1 mois et demi après son accouchement pour un bain sonore tout doux avec bébé. Que d’émotions pour moi de les recevoir tous les deux.

On me dit souvent « ah moi, la sonothérapie j’y crois ! » ou alors au contraire, on me regarde avec un air suspicieux quand j’explique que je suis sonothérapeute.

Je me suis donc dit qu’il était temps de rédiger un post pour expliquer les principes de la sonothérapie.